Elika

A Fight between Light & Darkness

Jeudi 1er septembre 2011 à 19:20




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J'ai eu une journée éprouvante sur le plan mental, et elle ne sera terminée qu'à minuit trente, heure à laquelle je devrais, en principe, quitter le MacDo ce soir. Pourquoi éprouvante ? Eh bien, pour une raison toute simple : la responsabilité. Etre un adulte implique d'en assumer un certain nombre. Parmi lesquelles : son travail, la gestion de ses études, de son lieu de vie...
 
Aujourd'hui, je me suis trouvée face à mes propres angoisses d'être une adulte.

D'un côté, j'ai aspiré à être plus indépendante : la fac, avoir son appart, un travail (bien que ce dernier soit plus une obligation qu'un réel choix de vie étudiante). De l'autre, il y a des moments où je ne rêve que de rentrer chez moi, l'endroit où ma mère m'appelle quand le repas est prêt, que mon père me rappelle comment remplir un dossier d'inscription et me signale qu'il m'a versé mon argent du mois sur mon compte, l'endroit où mon frangin tente désespérément de me vaincre à Halo, et où ma soeur me fait découvrir des sites de cosmétiques pas cher, tandis que je lui montre des bijoux sympas. Tous ces moments me manquent : les balades matinales avec ma mère, le tennis avec mon père... Même les sapins et la campagne me manquent, alors que tous les charmes de la ville me tendent les bras.


Ma rentrée est le 14 Septembre à la fac. Et je dois continuer à travailler 20 heures par semaine au MacDo jusqu'au 27. Vous voyez le hic. Concilier les deux va me contraindre à faire uniquement des closes sur les deux dernières semaines. Bon, je n'ai jamais été une couche-tôt, mais j'aurais préféré ne pas avoir à rentrer tous les soirs à 1 heure du matin chez moi, pour enchaîner sur une journée à la fac. Bref. Encore une fois, ça n'est pas comme si j'avais le choix. Ensuite, j'ai demandé à passer à dix heures par semaine. La directrice m'a dit que comme les contrats étaient trop facilement emplâtrés, ça serait mieux si j'en faisais 15. Quand je lui ai dit que ça ne serait pas possible, elle m'a dit de tenter de demander dix, et qu'au pire j'en ferai douze. C'est génial le monde du travail étudiant non ?

Bref, pendant que je me débattais avec ces histoires d'horaires à la con, j'ai essayé de me préparer à bouffer. Seulement l'ouvre-boîte que j'ai récemment acquis était une merde totale incapable d'entamer le métal, j'ai fini par poignarder à coups de ciseau le couvercle pour l'ouvrir. Je vous laisse imaginer l'Apocalypse dans ma cuisine. 


J'ai fait deux heures de queue à la fac pour retirer un dossier, et je suis ébahie par la tonne de paperasse que j'ai encore à fournir. C'est dingue, pour mes équivalences il y a deux mois, je leur en ai déjà fourni la moitié, mais il faut que je les leur redonne. Encore. L'administration.... J'ai toujours imaginé le monde noyé sous la paperasse, croulant sous les documents soit-disant "indispensables".


Alors c'est simple, j'ai eu une journée "ras-le-bol", une journée de merde. Je ne suis plus franchement optimiste sur cette année à venir. J'ai l'impression que je vais devoir me débattre avec trois millions de trucs à assumer entre le boulot et la fac, alors j'ai intérêt à poser de sérieuses limites à mon engagement professionnel si je veux décrocher une licence haut la main et avoir une chance de faire ce que je veux par la suite. D'abord, en leur rappelant qu'en juin, j'ai dit très clairement que jusqu'à début septembre, je pouvais faire 20 heures par semaine : j'en ai 25, et je dois rester sur cette base jusqu'au 27 (ce qui n'est pas franchement le début du mois). Et que j'avais dit aussi que toute l'année, je pourrai faire dix heures. Dix, et non pas quinze, ni douze. J'ai pas l'intention de me faire marcher sur les pieds par mes très hautes autorités. Si je ne leur conviens pas parce que je ne suis pas assez disponible, ils n'auront qu'à me foutre à la porte. 

Sur ce, je vais aller essayer de préparer un repas sans refaire Saw sur ma table. Ce qui n'est pas gagné.

Mardi 22 mars 2011 à 19:07



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Vous vous souvenez de la balade à vélo qu'on vous a tous fait faire quand vous étiez gamins ?
Quand au bout de deux heures vous aviez mal aux jambes, mal au dos et que vous demandiez où était la fin de la côte, ou le bout de la route ?
Et qu'il y avait toujours quelqu'un pour vous répondre : après ce virage, on y est presque. Ou encore, "Tu vois le sommet de la bosse là ? Après ça va descendre tout le long, t'en fais pas."
Et comme des pommes, vous y croyiez, ou plutôt, vous fixiez toute votre attention là-dessus, en vous disant "Après ça sera fini". Parce que ça rendait les perspectives moins dures, et qu'on se disait que ça passerait plus vite.

Et bien, la classe prépa, c'est la même chose. Avant les vacances de février, j'ai eu 6 semaines pourries par des devoirs et un boulot monstre. En arrivant aux vacances, je me suis dit "Plus qu'un concours blanc, et ça sera fini". A la rentrée, la semaine a été longue, éprouvante, mais en arrivant à sa fin, je me suis dit que ça serait fini. Et puis cette semaine, j'ai encore deux colles, une demain et une après-demain. Alors je me dis qu'après, ça ira mieux, ça sera vraiment fini. Et puis ma prof d'anglais nous annonce aussi que le conseil de classe qui doit clôturer officiellement les notes et qui devait avoir lieu la semaine prochaine est reporté au mois de juin. Ce qui fait que j'aurai encore deux examens d'anglais.

Seulement j'ai mal au dos, et aux jambes, et je ne supporte plus la gueule de ce lycée, de mes profs, le boulot que je fais, qui m'abrutit, et j'en ai assez d'entendre dire "Plus que... plus que...". J'estimais qu'on avait assez pédalé pour mériter de s'arrêter.
J'en ai plus qu'assez de barrer les jours sur mon calendrier, d'aller de décompte en décompte, et de désillusion en désillusion. C'est comme courir après un arc-en-ciel, plus on s'approche et plus il s'éloigne.

Je n'ai jamais été aussi proche de la fin, et elle ne m'a jamais semblée aussi loin.

La prépa, c'est la pire balade à vélo de toute ma vie.

 

Mardi 1er février 2011 à 22:24

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En ce moment, le deal, c'est que le destin a décidé que mes moments de bonheur devaient être peu nombreux, courts, et qu'un retour de bâton des plus désagréables devait immédiatement les suivre. C'est dommage, parce qu'on s'habitue vite à aller bien, malgré le fait qu'il faille se lever tous les matins et se geler les fesses pour attendre le bus, pour aller gentiment s'ennuyer en cours et ramasser des 7 à la pelle (ce qui ne représente que 0,5 point par page écrite, petite précision). Mais peu importe ça. Au fond, j'ai appris à me détacher du "moi social" qui récupère sa copie sans montrer de déception, ou de frustration. A quoi est-ce que ça servirait de toutes façons ? Je passe mon temps à me plaindre, je comprends bien que je lasse mon monde. Faut croire que j'ai changé, en fin de compte. Quelque part, ça doit bien être de ma faute, si quand je me retourne sur ce que j'ai vécu depuis 2 ans, je ne trouve qu'une longue liste d'échecs : scolaires, amicaux, amoureux. Suis-je devenue l'élève de prépa type qui se protège derrière des apparences d'originalité sans avoir de véritable fond ?
Est-ce que je fais semblant, tout le temps ? Semblant de m'accrocher à ce qui a été des passions, des envies, des rêves ? Suis-je devenue indifférente à tout ? Parfois, je me fais l'impression d'être une coquille vide, une projection de ce que je voudrais vraiment être sans y parvenir. 
J'ai eu si peu souvent l'occasion de ressentir un sentiment d'accomplissement dans quelque chose depuis 2 ans... Je finis par douter de ma capacité à accomplir quoi que ce soit dans ma vie. Je finis par douter des chemins que je veux prendre. Je vois tellement de gens passionnés, guidés par quelque chose. Moi, parfois, je suis tellement fatiguée que je n'ai même plus d'énergie pour me passionner.

Je m'accroche aux gens qui m'entourent comme un naufragé à son radeau. Je voudrais qu'on me dise que je n'ai pas vraiment changé. Que ce pour quoi ils m'aimaient est toujours là, mais au fond, quand rarement ils le disent, ça sonne tellement faux que ça passe pour de l'hypocrisie. Et puis finalement, j'ai tellement stagné dans mes relations que je finis par me retrouver dans des positions dans lesquelles je me suis retrouvée par le passé, alors que je m'étais promis d'avancer. A part la fin de ma prépa, je n'ai pas de point de mire, d'objectif. J'aimerais dire que c'est celui d'un futur dans un milieu que j'aime, mais je n'arrive pas, vraiment pas, malgré tous mes efforts, à m'imaginer en dehors d'elle ; elle est devenue mon quotidien à un tel point que je n'arrive pas à me projeter plus loin que le 28 avril. Chaque fois que j'essaie, j'ai l'impression de tomber sur une partie vide de moi-même qui a existé à un moment, mais qui s'est volatilisée. C'est peut-être pour la même raison que je n'arrive pas à me laisser aller, à accepter de m'amuser, comme si une part de moi-même refusait que je perde le contrôle. En même temps, je suis terrifiée à l'idée de faire face à ce vide. Je préfère me focaliser sur ce que je vis maintenant, pour éviter d'avoir à me poser des questions. Je déteste qu'on me demande ce que je veux faire, car mes réponses sont devenues plates. Et oui, véritablement, quand je me sens trop mal pour simplement laisser de côté ces questions, et que je m'y confronte par la force des choses, je suis terrorisée et triste. Terrorisée parce que je n'arrive pas à mettre des mots sur ce vide inconsistant qui me caractérise dans ces moments-là. Et triste parce que j'ai l'impression de n'être plus personne, pour personne. J'ai l'impression de n'être que constamment en train de sauvegarder les apparences, pour les autres mais surtout pour moi. En projetant cette image toute faite, je me protège surtout moi, avant d'essayer d'épargner les gens qui me sont proches, parce que je crois fondamentalement qu'ils ne pourraient vraiment pas comprendre ce que je ressens. Parce que dans ces moments-là, je les hais, du plus profond de moi, je les hais. Je les hais parce qu'ils savent prendre les risques et rester optimistes parce qu'ils savent où tout ça va les mener, ou du moins ils l'espèrent. Je les hais parce que depuis deux ans, je n'ai progressé avec personne. Les mêmes personnes, pour les mêmes sentiments, pour les mêmes travers. Je les hais parce que ce n'est même pas de leur faute, et parce que j'ai désespérément besoin que quelqu'un, n'importe qui me pousse de l'avant, et que je sais que personne d'autre que moi ne peut m'en donner les moyens. Je les hais parce qu'ils ne comprennent pas, qu'ils ne comprendront jamais. Pourquoi je m'obstine depuis 2 ans dans cette prépa. Je crois que j'ai compris que si j'étais restée, c'est parce que je ne sais pas ce que j'aurais fait de ma vie. Je ne sais pas si j'aurais été meilleure. Je crois que je préfère me dire que c'est la prépa qui a un problème avec moi, avant de concéder que c'est moi qui ai un problème avec elle. C'est tellement plus facile. 

C'est comme si ma vie, toute ma vie, avait tourné autour d'un point précis pendant deux ans. Comme si ça n'avait été qu'un long, très long recommencement, sans progrès, juste des étincelles qui m'avaient laissée espérer un pas en avant. J'en suis arrivée à un point où toutes les certitudes que j'avais, sur moi, sur les gens que j'aime, se sont effondrées. J'ai besoin, continuellement besoin, de me prouver que je suis quelqu'un. Et j'ai besoin qu'on me le prouve aussi. J'ai été forcée de me replier sur moi-même, parce que j'avais besoin de me protéger, mais ça n'a pas suffit. Maintenant, je ne cesse de me remettre en question, de négliger ce que j'ai fait, ce que je suis, un futur possible. 
Barrer les jours. Mais pourquoi faire ? Qu'est-ce qu'il y aura après ? La prépa a régi toutes mes journées, mes perspectives, et qu'est-ce que je vais faire quand ça sera à moi d'en décider ? En serai-je capable ? Est-ce que je saurai faire les bons choix, aller là où j'aurai vraiment envie d'aller ?

Maintenant que je vois un bout au tunnel, je n'arrive même pas à imaginer ce que je vais ressentir, ce que je vais être en quittant le lycée. Je crois que je ne serai pas capable de prendre du recul sur tout ça avant longtemps. Très longtemps. Et j'espère redécouvrir quelque chose en moi que j'avais laissé de côté depuis Septembre 2009.
 

Lundi 24 janvier 2011 à 23:09


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"BONJOUUUUR et bienvenue sur cette Opération Frisson spéciale Y a que les cons qui ne changent pas d'avis !"

Et personnellement, je suis ravie d'appartenir à la catégorie de ceux qui changent d'avis, comme cela m'est arrivé ce week-end. Que je vous situe le contexte : les films de créatures, c'est moyennement mon truc. Dans le cas des vampires, mon mètre étalon, c'est Interview with the Vampire, pour moi le seul vrai bon film de vampire depuis le Nosferatu de Murnau et le Dracula de F.F.Coppola, qui sont à mon avis les vrais héritiers du roman de Bram Stocker.
Quand au film de loup-garous, je n'ai jamais trouvé celui qui m'a accrochée. Les tentatives passées de faire un film de loup-garous vraiment classe et tout ont été ratatinées par le fait qu'elles ont toutes "mal vieilli", voire très mal. Pas évident non plus d'être original sur un sujet aussi ancré dans les croyances populaires, dans l'inconscient collectif, avec toutes les représentations que cela peut véhiculer. Bref. Quand j'ai vu Wolfman trôner pour 5 € sur une étagère à Odyssée, je me suis dit que le film ne les valait sûrement pas, mais qu'après tout, le risque ne coûtait pas très cher. Alors quoi ?! Hop, ni une, ni deux, je ramène ça à la maison, je mets ça dans le lecteur, et voilà.

Deux heures plus tard...

Mea culpa, mea culpa. Le film de loup-garou peut être très bon, très bon, et même excellent.
Wolfman en est la preuve par trois :
- une ambiance au poil.
- un scénario solide.
- des acteurs qui gèrent leurs mères.

L'ambiance, tout d'abord. Gros boulot de lumière, de son, de décors, de musique (composée par Danny Elfman, et éduquez-vous bande d'idiots si vous ne savez pas qui c'est !)... Bref, de gros efforts sur la photo, le cadre... De bons effets gores, beaucoup de tripes à l'air, de membres arrachés, de vieilles giclées de sang bien dégueux, on se croirait à l'abattoir avant Noël. Tension, sursauts, le trouillomètre qui s'agite quand même à certains moments... Que demande le peuple ?

Le scénario, ah ! Bon, dans un film de loup-garou, on joue toujours sur les mêmes clichés : par une nuit de pleine lune, y a une vilaine bébette dans la forêt, avec des dents et des griffes, elle mord un type qui passait par là, et hop, tous les 28 jours, comme le veut la coutume, il devient lui aussi une vilaine bébette qui croque les gens. Les villageois se font bouffer,  puis un type plus intelligent que la moyenne débarque, et tue les loup-garous avec des balles en argent, et les villageois sont contents.
Wolfman parvient, tout en se fondant de très près sur les codes et conventions du genre (légendes gitanes, représentations collectives...), à être très original dans son contexte et son cadre (L'Angleterre de la fin du XIXème siècle). En intégrant au mythe du loup-garou celui d'Oedipe, il offre alors une double dimension à l'intrigue, et les personnages gagnent en profondeur. Les enjeux entre eux en sont plus intéressants, plus complexes. On a pu reprocher au film ses longueurs, moi je trouve justement que contrairement à un film où on aurait pu se contenter d'enchaîner les scènes de transformations, de gore, et de baston sans réels enjeux, Wolfman insiste sur tout le "background" de sa trame, à savoir des relations non superficielles entre ses personnages, même secondaires. La toile qui se forme entre eux tout au long du film dépasse le cadre traditionnel des relations inter personnages dans des films de cet acabit et de ce budget, et tout le film est dominé par cette reprise de la tragédie oedipienne, qui trouve ici un écho juste et puissant.

Les acteurs, je me faisais pas trop de soucis non plus ! Benicio del Toro déjà, rien que ça, partage l'affiche avec le géant Anthony Hopkins, la jeune talentueuse Emily Blunt, et le désormais sacralisé Hugo Weaving. Un quatuor de choc, pour une interprétation à la hauteur de nos attentes.


En gros, Wolfman est devenu ma référence du film de loup-garou, vous me direz, compte-tenu de ses prédecesseurs, il n'avait pas beaucoup de mal à s'imposer. Malgré les a priori que j'avais pu avoir au départ, force est de constater que le film de Joe Johnston me fait amèrement regretter de l'avoir boudé à sa sortie en 2010 !



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Jeudi 13 janvier 2011 à 9:52

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Et voilà. Après seulement une semaine et demie de cours en 2011, mes poumons décident de me faire chier à nouveau. Voilà pourquoi ce matin, au lieu d'être en philo depuis deux heures, je suis clouée sur mon canapé, à écrire un article pour passer le temps. Je viens de terminer mon exposé avec Powerpoint à l'appui sur Dario Argento pour mon cours d'italien de demain, et voyez-vous, je pense qu'il va bien durer un quart d'heure, en parlant à la vitesse de la lumière. Parce qu'il y a trop de trucs à dire sur Argento, et que ce sujet me passionne. Ce dernier aspect étant relativement rare dans tout ce que je fais depuis l'an dernier, j'en profite, je le fais à fond. Les hypokhâgneux et khâgneux d'italien de Fauriel vont donc se taper un quart d'heure d'analyse du cinéma d'Argento, et comme l'a dit Alex "T'as conscience que tu vas faire chier tout le monde ?", eh bien oui, je l'ai, mais je m'en tamponne le coquillard avec une saucisse Herta, car mon professeur d'italien, très open-minded, a toujours apprécié mes exposés parfois un peu fantasques, je vous l'accorde, et je ne me suis pas emmerdée à faire une présentation vidéo (je suis la seule à l'avoir fait pour l'instant), pour blablater cinq minutes sur Dante ou Verdi. Naméo.
Mon seul regret, c'est de ne pas pouvoir diffuser carrément des extraits. Paraît qu'il faut pas pousser Mémé dans les orties.

Tant pis. Peut-être leur donnerai-je au moins la curiosité d'aller voir sur Youtube quelques massacres de pauvre femme bien sanglants, "juste pour voir quoi...". Quitte à passer pour une dérangée, j'aime autant que ça soit carrément quitte ou double.

Du reste, travailler sur Il Maestro del brivido (Reverso est votre ami) m'a carrément redonné le goût de voir à nouveau Suspiria. Quand je pourrai regarder un écran pendant longtemps sans prendre 39° de fièvre, je le ferai sans doute.

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