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Les gens devraient vraiment savoir quand ils doivent fermer leur gueule.
C'est pas la première fois que je le dis, mais vraiment, ça devient vraiment pesant comme situation. Je commence à en avoir plein le dos d'être tirée en arrière par des gens qui refusent de grandir, d'évoluer, qui ont un temps de retard sur leur façon de voir les relations. Appelez ça une différence de mentalité, de maturité, ce que vous voulez. L'adolescence est derrière moi, j'aspire à quelque chose de plus adulte. Et j'en ai assez de me retrouver plongée dans des conflits de collégiens... J'ai assez donné à l'époque.

Certes, je ne facilite pas la tâche aux gens autour de moi. J'essaie de dissimuler mon agacement, mais à certains moments, j'en suis incapable. Trop, c'est trop. Ce que je n'arrive pas à comprendre, c'est pourquoi ils refusent de voir cette différence, pourquoi ils ne parviennent pas à comprendre. Merde quoi, ça n'est pas une tragédie de constater que quand on est pas sur les mêmes trips et bah ça ne peut pas fonctionner facilement ! Avec certaines personnes, les différences parviennent à s'estomper, à devenir même complémentaires, mais ça n'est pas toujours le cas. Des liens se font, et se défont, c'est comme ça, on n'y peut pas toujours quelque chose. Il faut savoir laisser aller les choses. Leur insistance me fatigue. Je n'ai pas besoin de ça en ce moment. J'ai d'autres choses en tête, des éléments qui font que mon moral joue au yoyo, que mon humeur est très variable, et que je suis particulièrement soucieuse et fatiguée depuis quelques temps.
C'est comme ça. En ce moment, je refuse les concessions, je refuse d'y mettre les formes. Je suis dans ma phase "bulldozer", je ne prends pas spécialement de gants pour dire aux gens ce que je pense.
C'est un "ras-le-bol" général. On a eu un mois de janvier pourri, plein de boulot, pas de temps pour soi, pour s'amuser, pour voir ses amis.
Je suis en vacances depuis 24 heures, que ça y est, j'ai déjà le sac de reproches qui me tombe sur le coin du nez. J'ai envie de dire, pour une fois "tant pis". Non, je ne réponds pas à vos textos, non, je ne réponds pas à vos reproches, et estimez-vous heureux que mon humeur penche plus vers la lassitude que vers la colère. J'en ai assez de me battre contre des moulins. Pour une fois, j'aimerai bien qu'on me foute la paix, et qu'on me laisse tranquille un moment, avec des gens avec qui j'ai envie de partager du temps, des gens à qui j'ai envie de me confier.

Un article parfaitement inutile, puisqu'aucune des personnes à qui je m'adresse ne visite ce blog, mais de toutes façons elles savent ce que je pense de cette situation. Dommage qu'encore une fois on ne se trouve pas vraiment sur les mêmes bases de jugement.